Le déclin de la syndicalisation semble être un élément-clé de la hausse des plus gros salaires

Le déclin des syndicats dans les pays riches a alimenté la flambée des inégalités sociales en restreignant les moyens d’action des salariés face aux hauts revenus, affirme une étude d’experts du Fonds monétaire international : « Le déclin de la syndicalisation semble être un élément-clé de la hausse des plus gros salaires », écrivent deux chercheuses du FMI dans le magazine de l’institution, Finance and Developement.

Selon leur étude qui couvre la période 1980/2010, les syndicats permettent d’abord de freiner les inégalités en assurant une « distribution des salaires » plus équitable et en faisant pression sur les autorités pour s’engager dans cette voie.
Mais surtout, notent les chercheuses, une faible syndicalisation « réduit la capacité de négociation » des salariés sur leur rémunération, au bénéfice des actionnaires et des plus hauts revenus.

Selon l’OCDE, le taux de syndicalisation dans les principaux pays développés a reculé de 20,8% en 1999 à 16,9% en 2013.

Mais attention à la représentativité syndicale (Ce conférer entre autres à la loi travail)!

Je me syndique à la CGT ! POUR MES GARANTIES COLLECTIVES ET POUR FAIRE ENTENDRE MES REVENDICATIONS, JE CONTACTE MON SYNDICAT de SITE ou TERRITORIAL CGT et UFICT-CGT
Imprimer cet article Télécharger cet article

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *